La première conférence sur la crise migratoire en Afrique a ouvert mercredi, 27 décembre 2017 à Conakry ses travaux sous le thème : « La société civile africaine face au défi de la crise migratoire ». Organisé du 27 au 29 décembre 2017 par le parlement Africaine de la société civile, cette rencontre s’inscrit dans le cadre de trouver des réponses pour freiner ce fléau migratoire sur le continent.
Selon le représentant du parlement Africain de la société civile et le président du comité d’organisation de la CIOAME 2017, Yves Magloire, a indiqué ceci : « Aujourd’hui, tout le monde parle de la migration réellement on ne trouve pas de solution ; la société civile africaine a décidé de se réunie enfin qu’ensemble nous cherchons des solutions enfin de freiner l’immigration clandestine ; par ce que l’immigration irrégulière on ne peut pas dire qu’on l’arrête totalement mais faut le freiner et pour faire ça faut qu’il y a les décideurs qui asseye de réveiller pour agir en sorte que pour crée de l’emploi des jeunes par ce que quand y trop de pauvreté les jeunes sont obligés de sortir par exemple quand tu vois un jeune dans le désert va voir ou il a quitté donc les situation sont tellement difficile mais nous espérons que si les conditions changes à l’interne de chaque pays ça va freiner beaucoup de l’immigration clandestine et nous avons beaucoup de thématique à abordée pendant cette conférence de trois jours ».
Pour le secrétaire général du comité exécutif du parlement Africain de la société civile Faghedou Koffi, ils ont ciblé un thème sur lequel ils débattent et ce thème est d’actualité aujourd’hui. La société civile dans la vie faut faire toujours des propositions donc la société civile en prenant à bras le corps ce problème, nous envisageons avec nos moyens d’essayer de talonnée nos gouvernants enfin que solution soit trouvée pour éviter ce problème.
Partant de ses constats, M. Koffi Faghedou précise qu’aucun membre du gouvernement n’était présent à cette conférence dû à des conditions inexplicables.
Mariama Conté