Depuis que la terre est devenue la première industrie dans cette préfecture, les zones susceptibles d’être aménagé pour la production agricole sont en passe d’être loties par les dits coutumiers. Les zones de productions sont inexploitées où elles se raréfient de même que certains arbres fruitiers tels les manguiers abattues pour des fins de carbonisation.
Du coup sont pris d’assaut les flancs des montagnes où les défrichements sont achevés et attendent le brûlis. C’est là, un premier pas pour les perspectives de lotissement par certains individus. Les sommets de certains monts étendent déjà investis.
Dans les collectivités, la campagne agricole ne connait plus l’enthousiasme d’entend. Le retard dans la délimitation des forêts classées, l’inapplication des mesures de déguerpissements de zones illégalement occupées comportent les velléités d’occupations par quelques individus de tous les espaces susceptibles de générer des fonds.
Aujourd’hui, nul ne peut fournir les superficies des trois forêts classées de Coyah.
Au stade actuel, c’est la ruée vers les terres avec les conflits qu’elle génère.
S BAH
