Trente minutes chaque jours, c’est le temps mit pour l’écoulement de l’eau dans les robinets des abonnés de la Société des Eaux de Guinée (SEG) dans la préfecture de Coyah tout juste pour contenir quelques sceaux et bidons pour la cuisine et la boisson.
En ce mois de Ramadan, la rude épreuve est pour ces milliers de femmes et d’enfants autour des points d’eaux, forages et sources. Mobilisation souvent qui entraine des colères et querelles.
Des forages se pendant plus nombreux dans les centres urbains.
Le calvaire pour ces derniers, c’est surtout dans les zones rurales (Bangouyah, Tabily, Moriyah Khori et Kiria). Il n’existe que pour approvisionnement que les rivières aux eaux infectent.
Autres paradoxes, à Goléah, Bambaya, Gnèyah et Tabily, des forages réalisés par certaines ONG depuis 2010 ne sont plus opérationnels depuis, faute de mallette pour aspirer l’eau.
Soul