Le Podha, danse traditionnelle commence a gagné du terrain dans les 28 quartiers de la commune urbaine de Mamou. Chaque soir, les amateurs qui étaient peu connu, boudent les boîtes de nuit au profit de cette nouvelle danse dans la ville carrefour.
Les lieux les plus fréquentés sont la maison des jeunes, le buffet de la gare et certains bars de la place. Des artistes locaux semblent avoir pris le devant de la scène dont des femmes en grand nombre.
A l’occasion de chaque soirée, des personnes nanties ou réunies en Séré sont invitées et font la rivalité dans l’offre. Certains citoyens donnent de l’argent et d’autres des habits, des boucles d’oreille en or ou en argent et qui aux yeux de certains observateurs sont des dépenses inutiles.
La consommation de l’alcool, la cigarette et les liasses de bière ainsi que la rivalité entre femme et fille dominent aux seins de ces locaux dire de récréation.
Le facteur le plus marquant est du fait que quelqu’un peut manquer de couple, mais arrivé sur les lieux l’intéressé peut en trouver facilement.
Ensuite des jeunes garçons dont l’âge varie entre 18 et 35 ans sortent généralement avec des vieilles femmes sans complexes.
Une situation qui inquiète plus d’un observateurs surtout concernant l’écart d’âge qui pourrait jouer sur la santé du plus jeune.
Alpha Sylla