Dans la commune urbaine de Lola et à l’intérieur de la préfecture, des camps d’excision se multiplient en cette période vacance aux jeux de tous.
Malgré plusieurs appels lancés par les institutions et ONG dans la lutte contre les Mutilations Génitales Féminines et Excision (MGF/E), les fillettes de 2 à 3 dans la préfecture de Lola sont victimes de l’excision occasionnés par des familles. Ces familles se livrent dans cette pratique sans aucune réaction des autorités compétentes.
Pour preuve, à leur sortie dans ces camps d’excision, on remarque dans les rangs des fillettes qui ne savent même pas ce qui se passe autour d’elles, sauf l’ambiance qui règne dans la foule.
Il est temps alors pour le département en charge de ces questions d’aider ces personnes pour ne pas détruire l’avenir de celles-ci.
Philipe Doualamou.