La route nationale numéro 2 en ses axes Guéckédou-Kissidougou et Guéckedou-Macenta encore non bitumée et joncée de nombreux points noirs. Sur l’axe Guéckedou-Macenta, précisément au PK 30, le passage des moins et gros porteurs n’est pas possible depuis trois journées et de nombreux véhicules sont stationnés sur la voie.
Face à l’état critique des lieux, le syndicat des transporteurs routiers plaide en faveur d’une intervention rapide des décideurs en vue d’un déblocage de la situation et le rétablissement de la voie. Le trafic sur la route nationale numéro 2 en ses parties non encore
bitumées constitue en ces moments de grandes pluies, un véritable calvaire pour les usagers. Sur l’axe Guéckédou-Kissidougou,
respectivement au PK 4, 12 et 15, ce sont formés des gros trous occasionnant où le syndicat des transporteurs routiers intervient
régulièrement par le dépôt des chargements de pierres et dans un second, la solidarité des transporteurs eux-mêmes.
Sur l’axe Guéckédou-Macenta au niveau du PK 30, la situation est pire. Au départ les véhicules embourbés étaient tirés par ceux qui
attendaient de s’engager. Mais, il y a de cela quelques jours déjà qu’un camion remorque à ériger domicile dans le bourbier. Face à son
poids, l’opération en cours n’est plus possible car, de nombreux véhicules sont stationnés des deux côtés de la route.
L’une des conséquences visibles est qu’au village d’Ouenlembadou le plus proche, la nuitée du lundi, 03 au mardi, 04 septembre 2018, une chambre à coucher coutait 10.000 GNF selon des sources d’informations.
La contournant, crée par un groupe de religieux qui étaient de passage et qui permet le passage des engins roulants est payé comme suit : motos (10.000 GNF) et (30.000 à 40.000 GNF) la voiture.
F Kamano