La directrice générale adjointe de l’office guinéenne de publicité, Hadja Modia Sidibé, a affirmé mardi, 05 mars 2019 à Conakry que son parcours a été un peu compliqué dans l’administration.
Avant, Hadja Modia Sidibé, a passé un temps dans la mécanique, la chaudronnerie, donc tous les métiers techniques.
‘’J’ai eu du plaisir à le faire, mes professeurs m’ont apprécié et ça m’a encouragé à faire l’électronique à la faculté d’électrotechnique à l’Université de Gamal Abdel Nasser de Conakry (UGANC).Après cela, le feu président Ahmed Sékou Touré m’a envoyé au ministère de l’Information pour une question de visibilité du genre, il m’a confié à feu Séméon Béhanzin qui était son ministre de l’information. C’est comme ça que je suis arrivé au ministère de l’information. Ensuite, j’ai fait les studios, le laboratoire, j’ai fait pas mal tous les services techniques’’, rappelle-t-elle.
D’après elle, avant de venir à l’Agence Guinéenne de Presse (AGP) elle était d’abord à la Radiotélévision Guinéenne (RTG).
‘’A l’AGP aussi, j’ai été chef de service maintenance pendant longtemps où j’ai assumé quand il y a eu l’informatisation. J’ai fait assez de stage au compte de WANAD, un projet qui finançait les agences de presse de la sous-région. C’est ainsi que j’ai appris l’informatique, la maintenance informatique. Je suis revenu. Le réseau informatique de l’AGP j’ai été la première à travailler là-dessus avec une équipe que WANAD a envoyée. J’ai géré ce réseau, j’ai été celle qui mettais à jour ce réseau informatique et faisait l’entretien, la maintenance et ensuite le site de l’AGP est venu’’ a expliqué Hadja Modia. .
Pour clore, Hadja Sidibé a laissé entendre que la fête des femmes, est une fête de l’Humanité.
Pour elle, c’est la source de vie donc dire Journée Internationale de la Femme (JIF), elle ne voudrait pas qu’on l’appelle comme ça, mais plutôt la journée de l’humanité. Puis que parler de la femme, c’est la source de la vie, donc sa fête c’est la fête de tout le monde. Il ne faut pas qu’on symbolise pour dire c’est la fête de la femme.
.Aicha Camara