A l’orée de la double compétition électorale, le Directeur Communal de l’Education de Kaloum(DCE), Ibrahima Docta Yattara a accordé, vendredi, 21 février 2020, à votre quotidien électronique une interview au cours de laquelle il a soutenu que la constitution est souvent sujet d’amendement.
Le peuple historique du 28 septembre 1958 est appelé le 1er mars 2020 à choisir des députés qui vont le représenter à l’Assemblée Nationale et prononcer sur la nouvelle constitution qui va nécessairement combler les déficits que connait celle de 2010.
A l’entame de ses propos, le DCE de Kaloum, Ibrahima Docta Yattara a indiqué que la constitution qui est la loi des lois est souvent sujette d’amendement, de changement comme prévu dans l’ancienne constitution en son article 51.
« On peut changer une constitution même ça reste un jour avant la fin d’une mandature et seulement, il y a des procédures pour la changer. Il suffit de consulter le président de l’AN, faire recours à la cour constitutionnelle et soumettre au peuple », précise le DCE.
La constitution du 07 mai 2010, selon lui, est victime de la manière dont elle a été élaborée et celle dont elle a été adoptée, parce que dit-il, ce n’était ni par voie référendaire ni par voie législative tandis que la nouvelle tiendra compte des grandes idées qui sont venues au temps du Pr Alpha Condé.
Et selon lui, cette constitution tiendra également compte des grandes idées du moment pour que la Guinée soit au diapason des grandes réalités qui s’imposent à elle, donc pour lui, ça ne sert à rien de semer le désordre. « C’est pourquoi le gouvernement doit se montrer ferme pour éviter le chaos, prendre toutes les brebis-galeuses, ceux qui ne veulent pas qu’il y ait la paix », invite le DCE, avant d’ajouter qu’on ne doit pas les laisser faire en confondant la liberté civile à la liberté naturelle.
Avant la fin d’une mandature et seulement, il y a des procédures pour la changer. Il suffit de consulter le président de l’AN, faire recours à la cour constitutionnelle et soumettre au peuple », précise le DCE.
La constitution du 07 mai 2010, selon lui, est victime de la manière dont elle a été élaborée et celle dont elle a été adoptée, parce que dit-il, ce n’était ni par voie référendaire ni par voie législative tandis que la nouvelle tiendra compte des grandes idées qui sont venues au temps du Pr Alpha Condé.
Et selon lui, cette constitution tiendra également compte des grandes idées du moment pour que la Guinée soit au diapason des grandes réalités qui s’imposent à elle, donc pour lui, ça ne sert à rien de semer le désordre. « C’est pourquoi le gouvernement doit se montrer ferme pour éviter le chaos, prendre toutes les brebis-galeuses, ceux qui ne veulent pas qu’il y ait la paix », invite le DCE, avant d’ajouter qu’on ne doit pas les laisser faire en confondant la liberté civile à la liberté naturelle.
« En mettant des idées de panafricanisme, en protégeant les faibles c’est-à-dire les personnes âgées, les femmes, les handicapés, en donnant la chance à tous les guinéens avec la candidature indépendante de se présenter rien que pour cela doit amener les gens à voter oui pour la nouvelle constitution », a-t-il souhaité.
Bah Tafsir