Depuis son élection à la tête du pays en 2010, le Président guinéen, Alpha Condé affiche des ratés et des critiques de la mal gouvernance qui gangrène le pays sous les jeux de son premier ministre, Ibrahima Kassory Fofana connu de tous les milieux comme quelqu’un qui veut ternir l’image de patron à travers la corruption à échelle ouvert dans le seul but de se faire une place de choix au cœur des populations.
Depuis un certain temps, la bande Kassory Fofana cherche à conquérir le pouvoir de tous les mois à travers des critiques acerbes de groupes de personnes à leur profit.
De nos jours, Alpha Condé est mal vu par sa gouvernance caduque et son système basé sur l’incompétence qui révèle l’existence de documents faisant état de l’attribution de marchés de gré à gré en “violation systématique des lois” de la République. Des milliards ont été distribués à des amis ou des proches dans des marchés dont la plupart n’ont pas été réalisés. On donne plus de 70% des montants du contrat sans exiger quoi que ce soit et ces gens prennent l’argent et font ce qu’ils veulent.
Aujourd’hui avec la COVID-19, les caisses de l’Etat sont vides parce que l’argent qui était destiné à financer des projets et programmes de développement pour l’amélioration des conditions de vie des guinéens a été détourné par des amis. Une bonne partie s’utilise pour sa fameuse candidature à l’élection présidentielle de 2020. Maintenant, ils veulent faire payer à la population cette facture de corruption en augmentant les taxes sur tous les produits et en refusant de réduire le prix du carburant à la pompe.
Ces dernières semaines, le président Alpha Condé et son premier ministre nous ont montré qu’ils n’étaient pas à la hauteur des attentes du peuple de Guinée à travers des comédies de toutes pièces montées dans la simple démagogie de se faire plaire.
La mauvaise gouvernance de l’équipe Kassory nuit à la transformation structurelle des économies de la Guinée ont relevé les participants à la mal gestion de la pandémie de Coronavirus qui ne fait que faire souffrir les paisibles populations.
M.C
