Le projet STOP COVID-19 en 60 jours touche à sa fin .Une fin marquée par un déficit de communication en langues vernaculaires dans les cinq (5) communes de Conakry a appris l’AGP de sources DCS.
Pour les circonstances, ces professionnels de santé retenus à travers l’ANSS (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire) se déploient amplement pour couper la chaîne de transmission dans les ménages recensés de Conakry.
Mobilisés avec ou sans conditions, les agents de santé se sont partagés dès le lancement du projet, la même stratégie. Il s’agit de ‘’information et la sensibilisation sur le mode de transmission de COVID-19 dans la communauté’’ à l’instar de celles édictées par les partenaires de Santé comme l’OMS pour atteindre le niveau actuel de combat de la maladie dans les communes de Conakry.
A date, la chaîne de transmission dans les ménages de Conakry se réduit perpétuellement et se compte de nos jours au bout des doigts.
Les directrices communales de santé (DCS), les directeurs des micros réalisations (DMR), les points focaux de l’ANSS et les agents de santé privés comme publics retenus excellent à fond dans la sensibilisation pour calmer certaines velléités.
Conséquences, peu de ménages prennent conscience dans la lutte contre la pandémie. Les gestionnaires à la base craignent le rebondissement de COVID-19 dans la communauté et mêmes dans les ménages guéris, si les dispositions idoines ne sont pas prises. Informera Frigui Camara DMR de Ratoma.
Unanimement satisfaits, les professionnels de santé chargés de la mission à la base n’ont rien à reprocher aux partenaires de santé qui se sont engagés dans le volet prise en charge des ménages en produit et en vivres.
A la question sur la réticence, les représentants de l’ANSS et les maires ont insisté sur la négligence de la maladie et sur non respects de barrières sanitaires dans les rues de Conakry et mêmes sans les ménages testés positifs.
A propos, les DCS, les DMR et certains élus locaux de Conakry recommandent une forte implication des médias surtout les chroniqueurs en langues dans le reste de combat.
Cheick Mohamed