la préfecture de Boké est depuis des mois, plongé dans une obscurité indescriptible par manque du courant électrique.
Ainsi, à cause de cette obscurité qui perdure, les membres du Cabinet du numéro un de la préfecture ainsi que des cadres administratifs éprouvent d’énormes difficultés liées à l’impression des documents administratifs.
Pour illustration, les ordres de mission et les autorisations d’absence sont souvent imprimés dans des centres informatiques de la place à des coûts plus ou moins insupportables.
Cependant, grâce à une ligne hybride, le secrétariat particulier du premier responsable de la préfecture est occasionnellement alimenté pour pouvoir tirer les documents d’urgence.
Faut-il souligner que le groupe électrogène devant alimenter les bureaux pendant la journée, semble être coincé par manque d’entretien.
Pis ! Le gardien dudit bloc n’a que sa petite et pauvre torche pour surveiĺer les lieux.
Mohamed Camara