La route du Niger, l’une des voies les plus fréquentées de la ville de Conakry pourrait ressembler de nos jours à un champ de patates. Les riverains ont perdu la patience depuis 2016 l’année à laquelle cette route a été colmatée par une société de la place. Conséquences : Abandon par les usagers dont les véhicules ne pouvant plus supporter les nids d’éléphants et les flaques d’eaux formées au beau milieu des chaussées dues au manque de canaux d’évacuations.
Ainsi pour éviter le retard aux heures de pontes, les habitués de cette voie ont changé l’itinéraire pour aller désormais du côté de l’auto route Fidel Castro.
Résultats : les bouchons ou embouteillages se donnent rendez-vous sur cet axe principal où les policiers devraient veiller sur les cas de mauvais comportements des chauffeurs au niveau des carrefours exceptés ceux de Donka et de l’Aéroport souvent bondés des hommes de tenue blanc et noire.
Cheick Mohamed