L’ambassadeur du Japon en Guinée, M. Matsubara Hideo, a procédé jeudi, 04 novembre 2021, à la signature de trois (3) microprojets avec les représentants desdits microprojets pour la sécurité humaine de base en République de Guinée.
Il s’agit de la construction de l’école primaire du village Malassy, dans la commune rurale de Wonkifong (Coyah), la construction de l’école primaire de Matam Lido1 à Conakry et la construction d’un centre mixte pour la Croix-Rouge Guinéenne dans la commune urbaine de Kindia.
Ces trois (3) microprojets sont présentés respectivement par l’Association pour la Défense des Droits de l’Enfant et de la Femme en Guinée, l’ONG Développement par les Jeunes (DEPAJE) et la Croix-Rouge Guinéenne.
Ainsi, l’école primaire de Malassy bénéficie d’un financement d’environ Huit cents vingt-cinq millions de francs guinéens (825.000.000 GNF), celle de Matam Lido 1 d’un montant d’environ Huit cents vingt-cinq millions de francs guinéens (825.000.000 GNF) et le centre mixte de la Croix-Rouge de Kindia d’un montant d’environ un milliard de francs guinéens (1.000.000.000 GNF).
A la signature de ces projets, les représentants Youssouf Traoré de la Croix-Rouge Guinéenne, Hadja Binty Sacko de l’Association pour la Défense des Droits de l’Enfant et de la Femme en Guinée et M. Salifou Camara de l’ONG Développement par les Jeunes, ont tour à tour exprimé leur satisfaction et surtout remercié le Japon à travers son ambassade en Guinée pour l’appui qu’il ne cesse apporter au peuple de Guinée.
Ils ont chacun en ce qui le concerne promis de mettre tout en œuvre pour la réalisation de ces projets d’intérêt social et éducatif pour les localités bénéficiaires.
De son côté, l’ambassadeur Matsubara Hideo a précisé que ces projets sont un financement du Gouvernement du Japon pour la sécurité humaine de base. Il s’agit, selon lui, d’une action locale, rapide et au plus près de la population et de ses besoins.
Le diplomate japonais souligne que son pays continue son appui aux efforts de développement de la Guinée, à travers des organisations de la société civile. Et la coopération, a-t-il ajouté, est un processus qui poursuit des objectifs définis en commun dans la durée, sur la base des besoins identifiés tels que l’éducation et la Santé, d’où le financement des trois (3) microprojets dont deux (2) concernent l’éducation et un concerne la santé.
AGP