Les cas de viol ne cessent de prendre une proportion inquiétante en Guinée. À date, plus de 400 cas de violences sexuelles ont été, pour l’heure, répertoriés courant l’année 2021, à en croire l’OPROGEM.
L’un des récents cas, est celui de la jeune femme M’mah Sylla, a qui déferlé une vague d’émotion au sein de l’opinion. Chacun y va de son commentaire pour, non seulement condamner, mais aussi prévoir des approches de solution afin de changer la donne.
À travers un post relayé sur sa page Facebook, le juge Alphonse Charles Wright a ainsi préconisé pour dissuader les auteurs : <<Sans une politique pénale nationale cohérente, rigoureuse et respectueuse des principes directeurs d’un procès pénal juste et équitable, les présumés violeurs sortiront gagnants par laxisme dans l’application de la loi et les victimes mourront avec double peines à savoir : celle de son boureau et celle de sa justice.>> a-t-il posté.
OC
