Le Forum National des Jeunes de la Société Civile Guinéenne (FONAJESCG) a organisé lundi, 22 janvier 2018 à Conakry une conférence de Presse pour commémorer les évènements du 22 janvier 2007.
Placée sous le thème : « 10ans après le massacre du 22 janvier 2007, quelle réponse de la société civile? », les organisateurs de cette cérémonie ont fait savoir que plus de cent cinquante (150) personnes sont tombées sous les balles de la dictature et de tolérance, dont 90% étaient des jeunes à la fleur de l’âge.
Selon le président du FONAJESCG, Dansa Kourouma, c’est pour ne pas que le gouvernement guinéen soit timide et que la justice soit fait « il faut reprendre cette année pour que les dirigeants d’aujourd’hui comprenne que les jeunes qui sont en 2007 sont mort pour le pays, pour la démocratie ils sont morts pour que eux ils se retrouvent au pouvoir, donc ils ne doivent pas taire sur cet événement sinon d’autre se reproduirons,
« Demandé justice ensuite cette institution a déjà tiré sont 3eme assemblée générale, l’assemblée a mis en place une nouvelle équipe donc on va redynamiser le forum pour qu’il se porte partis civil pour continuer ce donner là jusqu’au niveau de la justice et sa nous demandons l’implication des partis politiques. Je demande la mouvance et l’opposition et l’institution» a demandé Dansa Kourouma.
Le président de FONAJESCG a lancé un appel aux guinéens dans le combat pour la démocratie et de la prospérité collectif, c’est la jeunesse qui a la force, c’est elle qui a la cendre de rénovation, c’est elle qui a la détermination et la motivation à condition qu’elle soit motivé ou dépend des valeurs de la justice et cette jeunesse doit comprendre que le combat est loin d’être terminé.
À ceux qui concerne les dossiers, Dansa Kourouma expliquera aussi qu’«il y a un dossier en janvier février on est allé essence les victimes alors nous allons réveiller interagir avec les organisateurs de défendre des droits de l’homme que l’Union Africaine (UA) et au niveau international, si la Guinée ne prend pas le dossier en main ; la structure va constituer un dossier pour attaquer au niveau de la Cour Africaine de Droit de l’Homme et l’État guinéen sera contraint par l’UA de prendre le dossier en main.
Pour finir, M. Kourouma dira qu’un ensemble de démarches seront misent en place pour mettre fin à ces genres de choses.
Mariame Conté