A l’instar des autres préfectures de la Guinée, les femmes de Mamou ont célébrée ce Jeudi 08 mars 2018, la journée internationale des femmes sous le thème :<<Acquis et défis de l’autonomisation des femmes à travers les MUFA>>
Vêtus d’uniformes, les femmes de toutes les corporations ont été représentées par les leurs à cette fête dont elles étaient conviées.
Au-cours de cette journée trois (3) discours ont marqués le public présent. Celui du gouverneur de région, du directeur régional et de la directrice préfectorale de l’action sociale, de la promotion féminine et de l’enfance de Mamou en présence des cadres communaux, préfectorale et régionaux.
C’est la salle polyvalente de la maison régional des jeunes qui a servît de cadre à cette rencontre de quatre (4) heures.
Prenant la parole, Amadou Oury Lemy Diallo, gouverneur de la région administrative de MAMOU a tout d’abord félicité et remercié Mory Diallo préfet de Mamou, selon lui pour la franche collaboration qui existe entre eux, avant de rappeler que le 08 Mars 2018, est la journée internationale des femmes. <<c’est avec joie doublée d’une légitime fierté que je m’adresse aux braves femmes. Vous êtes nos mamans, nos épouses, nos sœurs sans lesquelles la vie ne serait possible. Les femmes sont souvent victimes de tous les maux, mais je demande aux hommes de prôner l’égalité entre femme et homme. >> dira le numéro 1 de la région de Mamou.
Mamady Kaba, directeur régional de l’action sociale, de la promotion féminine et de l’enfance quant à lui a fait l’historique de la journée du 08 mars de chaque année. << Les nations unies ont reconnues la journée internationale des femmes en 1975 soit 43 ans de cela pour la cause commune des femmes du monde. >>
La directrice préfectorale de l’action sociale, de la promotion féminine et de l’enfance, Hadja Iliyassou Diallo, à son tour souhaité la bienvenue aux femmes de la préfecture, qu’elle encourage pour le rayonnement de cette couche considéré jusque-là inférieur aux hommes.
La cérémonie de réjouissance a pris fin aux environs de 12h30 min par des poèmes déclamés par la troupe Club Culturel Issiaga Bah (CCIB), qui a fini par amener certaines femmes a versé des larmes.
Alpha Sylla