Depuis que la terre est devenue la première industrie à Coyah, elle a générée à partir des années 2000 nombreux conflits qui ont pour cause la vente d’une parcelle à plus 2 personnes par les dits coutumiers, les stellionats (l’attribution illégale des domaines aménagés et non validés par la Direction Préfectorale de l’Urbanisme et Habitat (DPUH), les transferts mal statués sont coupables généralement les coutumiers et parfois, les démarcheurs.
Sur 100 affaires déférées au Tribunal de Coyah par exemple, entre 80 et 90 sont domanial. Chaque collectivité connaisse ses affaires, elle constitue la une des débats publics dans les cafés. Le poste de gendarmerie près la DPUH est théâtre de chaudes discussions entre les protagonistes.
Les cas jugés chaque jeudi au Tribunal de Coyah, mobilise les hommes en noir. Procès ponctués de renvoi sur renvoi permettent à ces avocats de se sucrer.
De guerre lâche pour certains, ils tranchent à l’amiable à l’insu de leurs avocats sont toutes en quelques endroits des conflits qui engendrent la violence, vecteurs de blessés, de destructions et pillages en dépit des verdicts rendus. Mais objet souvent de contestations. S. Bah