Les responsables de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) ont fait cas ce jeudi, 13 septembre 2018 à Conakry, un résumé du rapport 2016 de leur institution à travers le responsable des passations de la communication, Abdoulaye Soumah.
Au cours de cette rencontre, il a été question de rappeler la mise en œuvre de l’ITIE depuis l’adhésion de la Guinée en 2005 jusqu’à la production des 12 rapports.
‘’Nous avons parlé du contenu et nous avons pu avoir comme moyen financier un montant de 3.108.000.000.000 (trois mille cent huit milliards francs guinéens) et que ce rapport a été battis sur la norme 2016’’, a expliqué Abdoulaye Soumah.
- Soumah précise que toutes les informations sur la chaine des valeurs depuis l’octroi des types miniers, la prospection, des informations sur la production, les informations sur la collecte des classes, les répartitions, des dépenses sociales, la désagrégation dans ce rapport par entreprise par flux financier (taxes, impôts) que les payements ont été faits dans les commune et la désagrégation par substance c’est-à-dire le fer, l’or, la bauxite, ont été décliné.
Plus loin, il ajoute que les écarts qui ont été obtenus qui était à la hauteur de 0,4 alors que la communauté de pilotage misait sur un écart maximal de 0,8.
‘’Une telle présentation, son objet est d’informer un peu large public sur les revenus tirés des industries extractives en Guinée et pour que ce soit l’objet d’un échange public avec la société civile et que l’on puisse orienter dans le sens du Gouvernement des industries extractives, a fait savoir Abdoulaye Soumah.
‘’L’ITIE est une gouvernance des industries extractives pour que la population puisse beaucoup vivre riche, pour sortir de la pauvreté et gagner la prospérité A Kindia les redevances qui sont payés obéissent à une clef de répartition qui est spécifique seulement à Kindia et personnellement au niveau de l’institution la répartition doit intéresser beaucoup plus dans les zones impactes que les autres zones’’, a conclu le responsable des passations de la communication.
Kadiatou Bangoura