Par un décret publié jeudi 23 janvier sur les antennes de la Télévision Nationale, le Président de la République Pr Alpha Condé a mis en place une Unité Spéciale pour sécuriser les élections législatives et autres consultations dénommée « Unité Spéciale de Sécurisation des Elections-( USSEL) ».Placée sous la supervision de la Commission Electorale Nationale Indépendante( CENI), l’USSEL a pour mission( selon le décret) la sécurisation du processus électoral sur toute l’étendue du territoire national.
L’USSEL est surtout chargée de « maintenir la paix, d’assurer la protection des personnes et de leurs biens ainsi que la libre circulation sur l’ensemble du territoire national avant, pendant et après les élections. » Et dans un autre décret du chef de l’Etat, le Général de corps d’armée Ibrahima Baldé, Haut Commandant de la gendarmerie nationale a été nommé Haut Commandant de l’USSEL. Le poste de Haut commandant-adjoint de l’USSEL est occupé par l’inspecteur général de la police Ansoumane Camara Bafoe. Ainsi la mise en place des structures de sécurisation des consultations électorales constitue un signal fort des autorités qui ne comptent pas tolérer les violences et tentatives de sabotage des élections législatives du 16 février et futur referendum constitutionnel annoncé par le conseil des ministres du 23 janvier 2020.
Le pouvoir politique et l’Etat sortent ainsi leurs muscles pour répondre aux menaces et projets cachés du FNDC et de du chef de l’Etat, le Général de corps d’armée Ibrahima Baldé, Haut Commandant de la gendarmerie nationale a été nommé Haut Commandant de l’USSEL.
Le poste de Haut commandant-adjoint de l’USSEL est occupé par l’inspecteur général de la police Ansoumane Camara Bafoe. Ainsi la mise en place des structures de sécurisation des consultations électorales constitue un signal fort des autorités qui ne comptent pas tolérer les violences et tentatives de sabotage des élections législatives du 16 février et futur referendum constitutionnel annoncé par le conseil des ministres du 23 janvier 2020.Le pouvoir politique et l’Etat sortent ainsi leurs muscles pour répondre aux menaces et projets cachés du FNDC et de l’opposition visant à empêcher par des séries d’OP noires, la tenue du scrutin législatif du 16 février.
AGP