Les acteurs de transports en Guinée victimes de la situation qui prévaut dans les frontières, étaient en conclave lundi 17 février au siège de la Faitière Patronale des transports routiers de Guinée (FPTRG) sis de la détermination de son bureau prêt à multiplier les contacts en faveur de dans la commune de Matam.
Objectif : échanger avec leur hiérarchie supérieure des informations dépouillées de toutes équivoques qui ne sont jamais obtenues depuis la fermeture brutale des frontières guinéennes par les autorités du pays.
Mettant au bain de la situation ses coéquipiers anxieux dont les camions sont bloqués aux frontières avec des marchandises, le vice-président de la Faitière Patronale des Transports Routiers de Guinée Ousmane Horoya Sylla a fait un tour d’horizon des différentes démarches de son bureau. Des démarches a-t-il ajouté habillement menées auprès des autorités en lien avec la décision notamment au ministère de la tutelle et à la Direction Nationale des Douanes d’où il a obtenu un seul argument qu’est « Raisons de sécurité de l’Etat » Ce blocage est dû à çà) a-t-informé avant de tenter d’exprimer sa position face à la sécurité de l’Etat dans un pays comme le nôtre. Le Président de FPTR a préféré la paix à tout autre trésor du monde. Néanmoins, il a rassuré les uns et les autres l’ouverture imminente des frontières.
Ousmane Horoya a demandé à tout un chacun de se conformer et de se contenir en restant derrière la loi et leur bureau qui se bat à fonds pour qu’au moins les véhicules Guinéens rentrent en Guinée dans un bref délai.
Auparavant, le premier responsable de la Faitière a déploré le retard dans la circulation des informations en provenance des autorités compétentes histoire d’éviter l’extrémisme dans le secteur de transports en Guinée.
Cheick Mohamed
