En Guinée, nous assistons aujourd’hui à des séries de publications intempestives sur les réseaux sociaux (facebook, instagram,whatsapp tweeter, et que sais-je encore… Des personnes se réclamant communicants des partis politique et autres, qui passent tous leur temps à s’attaquer aux personnalités et aux pauvres citoyens sans fondements et de manière injuste et parfois irresponsable même.
Le plus souvent, ces soit – disant communicants sont à la solde d’un individu ou d’un groupe de personnes dont la mission assignée à eux, est de nuire à la réputation des personnes et de nuire à leurs images, soit pour une misère ou à cause tout simplement par le fait de la jalousie, ou soit même de par son appartenance politique, soit à cause de son poste de responsabilité ou de simple règlement de compte.
Aujourd’hui, ces réseaux sociaux sont devenus pour eux des espaces appropriés pour insulter, mentir ou encore diffamé des gens ou parfois même s’attaquer à la vie privée des bonnes personnes.
Dans les cérémonies de reportage, nous constatons parfois la présence massive des petits communicants de ces partis politiques qui s’agitent très souvent et qui donnent même l’impression que c’est des vrais professionnels du domaine de la communication, alors qu’il n’en est rien.
Bien au contraire, ce sont des mercenaires de petites plumes à la solde de la démagogie et de la propagande sur les réseaux sociaux. Toute chose qui est vraiment contraire à la réalité du métier de journalisme.
Précision, un communicant de partis politiques ou encore des mercenaires sur des réseaux sociaux, ne sont nullement des journalistes. Un journaliste, c’est quelqu’un appartenant d’abord à une rédaction, détenteur d’une carte de presse, qui collecte des informations, qui les regroupes et qui les traites avant leur diffusion.
Contrairement aux petits communicants, qui n’ont pas reçu des notions, ni de formations de base pour ça. Ils n’ont pas ce professionnalisme pour avoir le statut des professionnels de la communication (journalistes).
Leur seul objectif, c’est de nuire l’autre au grand dam de son mentor. Ces agissements sont des comportements très nuisibles aujourd’hui qui contribuent à ternir l’image de la guinée.
Il est donc important, que les populations sachent une fois pour toute, que le journaliste professionnel est différent des gens qui se permettent de s’attaquer aux pauvres innocents à cause de leur intérêts égoïstes. Comme pour dire, que vitesse ne veut pas dire précipitation.
Par Sylla Ibrahima Kalil