Plaque sensible des transformations qui traversent les politiques culturelles, lieu de croisement des collectivités publiques, des réseaux artistiques et culturels, des chercheurs et de la société civile, l’observatoire des politiques culturelles fonctionne comme un atelier de ressources disponibles pour tous.
Notre équipe a fait un tour ce jeudi, 26 septembre 2024 dans certains ateliers de Conakry.
Selon ces artistes la clientèle commence à être morose dont le seul appui reste les partenaires internationaux qui font des achats dans le cadre du tourisme.
‘’les tableaux d’œuvres d’art, les masques, les statuettes et autres déterminent la culture guinéenne ‘’, déclaré un artiste
Quant aux représentations des autorités chargées de la culture, ils confirment que la culture guinéenne est l’une des meilleures au monde.
Poursuivant M. Bangoura Abdoulaye Aïssatou directeur général adjoint du centre de percussion au ministère de la culture du tourisme et de l’artisanat pense que la Guinée a été la première à connaître ses masques bien avant beaucoup de pays africains.
Il affirme que la mission de sa direction est de promouvoir les percussions autrement dit les mythes, les masques accompagner par des rythmes.
Trouvant une coquille vide au sein de son département, il dit avoir constaté un changement sous le leadership du ministère Moussa Moïse Sylla.
Aujourd’hui ces percussions sont maintenant régies par des lois qui jusqu’à date est en attente de validation afin d’être promulguée par le Conseil National de la Transition (CNT).
A rappeler que la Guinée tant vers la biennale internationale de percussion, qui n’était pas organisée depuis 1999. Avec les démarches, la guinée espère avoir la biennale internationale du 4 au 8 décembre 2024 qui sera suivie du concours de tous les percussionnistes du monde en général et de la Guinée en particulier.
Siaka tindila Keita