Dans la préfecture de Kankan, 27 infrastructures scolaires et sociales sont réalisées dans le cadre du 57ème anniversaire de la fête tournante de l’indépendance à intérieur du pays. Ces infrastructures sont réceptionnées il y a de cela maintenant plus de 3 mois. Malheureusement, ces bijoux ne sont pas exploités, elles ne sont opérationnels mieux elles ne sont pas exploitées par des
services par les services bénéficiaires par manque d’équipements de
tout genre.
La réalisation de ces infrastructures a donnée à la ville de Kankan, l’image d’une cité moderne, une ville qui bouche. Mais ce qui semble être aujourd’hui urgent, c’est quand et comment ces infrastructures réalisées sur le Budget Nation d’Investissement (BNI) peuvent être misent à la portée des bénéficiaires, les services
déconcentrés de l’Etat qui continuent à vibrer depuis deux ans, dans les bâtiments privés en location et qui coute cher à l’Etat.
Il convient de signaler que ces infrastructures construites selon les règles de l’art, sont construites de manières à ce qu’elles soient électrifiées par ce que toutes climatisées et ventilées doivent être relié au réseau d’adduction d’eau de la Société des Eaux de Guinée (SEG). A ce niveau, ces deux exigences ne sont pas satisfaites, ces infrastructures manquent d’eau et d’électricité, mais qu’à cela ne tienne, si ces infrastructures ne sont pas utilisées à temps, leur dégradation se fera sentir très prochainement car, la nature a horreur du vide.
La balle se trouve alors dans le camp des départements techniques intéressés notamment, le Ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation (MATD), celui de l’Economie et des Finances
et l’Administration Générale des Grands Projets. Le plutôt serait de mieux.
Mohamed Kaba
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